Hôtel de Luxe à Eze
L’histoire de Cap Estel
Comme toutes les belles histoires, celle de Cap Estel, hôtel de luxe à Eze, a connu une trajectoire incroyable, de propriétaires visionnaires en renaissance magistrale.
C’est Franck Harris, auteur et éditeur irlandais ami d’Oscar Wilde, qui tombe le premier en amour de cette langue de terre à la pointe d’Eze-Bord-de-Mer, balayée par la mer et caressée par l’horizon.
Dès 1900 les pâtures à cochons se transforment en un petit établissement huppé pour riches hivernants américains venus profiter de la douceur de la Riviera.
Puis c’est au tour de la comtesse Mery de la Canorgue d’ajouter à la Maison ses luxuriants jardins ponctués ici et là d’immenses ficus, la signature végétale de Cap Estel.
Un temps propriété de Rose Angeline Levieuze, maîtresse du Comte Sergueï, l'un des derniers Stroganoff, elle revient en 1923 à André Embiricos, héritier de l'une des plus anciennes familles d'armateurs grecs et pilote automobile.
Il faudra attendre le sortir de la seconde guerre mondiale et la fin de l’occupation du domaine par l’armée Allemande pour que l’établissement retrouve son lustre et devienne, sous l’impulsion de Robert Squarciafichi, hôtelier d’Eze, l’un des lieux les plus prisés de la Côte d’Azur.
De rendez-vous des stars à paradis caché
De 1951 à 1993, Cap Estel est le rendez-vous des stars, de Greta Garbo aux Beattles qui trouvent ici l’inspiration pour leur tube « Michelle », d’Anthony Quinn à U2 en passant par les Rolling Stones.
Toute l’élite s’y précipite, les soirées sont fastueuses et la nuit ne dort jamais.
Depuis Cap Estel s’est mué en une certaine idée du paradis, un hôtel confidentiel déposé dans un écrin végétal ourlé de roseraies et d’essences méditerranéennes, habillé de cascades et de fontaines.
La bâtisse principale d’inspiration florentine avec ses colonnes grecques pareilles à un temple face à la mer est le siège d’un luxe secret.
Une maison d’amis exclusive entre raffinement, calme et volupté.
